M3/KG / Mount Fuji Architects Studio +philosophie Architectural.

C'est une maison qui a été construite à Tokyo, pour un couple de producteur.
Cette architecture est composée par une combinaison d'un bloc en béton armé en L et des charpentes séquentielles en bois en forme de boîte. Les chambres à coucher, les archives cinématographique et une galerie dans la partie concrète solide pour la sécurité et le salon dans la partie de bois qui se composent d' une clairière, structurée part un bois fin (38mmx287 millimètres), de 6 m de hauteur et de 5.5 m de large, sur une profondeur de 14 m.

Le thème Principal de cette architecture est de révéler un sens de masse et de matière, qui ont été niés par l'architecture moderne qui a suivi comme style “le mur blanc, plat” comme norme. Les architectes ont intentionnellement laissé le grain du bois sur la surface du béton et choisi des pierres et des fers texturées.

Il va sans dire qu'une maison doit être un endroit reposant. Une maison conçu comme un cube blanc, entouré par des murs plats et blanc partout, renvoi une image très abstraite à son propriétaire. Cette image pourrait seulement être détectée quand nous utilisons la partie intellective (conceptrice) de notre cerveau. Le problème est que nous ne sommes pas tous des créatures conceptrice. Pour les gens comme ce client, qui font suffisamment de travail intellectuel quotidiennement , le cube blanc leur apporterait uniquement de la fatigue.

Le rôle de l'architecture, surtout celle touchant l'habitat, doit calmer le côté sensoriel des gens, et ne pas stimuler le côté intellectuel,dans le sens qu'ils n'aient pas besoin de projeter du sens, que tout soit limpide devant les yeux afin qu'il puisse exercé leur faculté créatrice dans un autre domaine.

Pour sûr, la vie intellectuelle aurait un sens comme une mode au temps où l'architecture moderne est née. Pourtant, maintenant que ce soit devenu une partie de la vie quotidienne, son identité a été perdue. Nous devons examiner si notre approche est rationnelle ou pas a chaque fois ou nous construisons l'architecture.

l'Architecture comme le Dialogue philosophie Architecturale de Mount Fuji Architects Studio

Nous ne souscrivons pas au postulat que “la ville est un problème et l'architecture est la réponse”. Ce point de vue est un produit de pur théorie architecturale moderne, qui pèse à ce titre très lourdement sur les programmes d'éducation architecturale d'aujourd'hui : quelles sont les problèmes parcourant la ville ? Quelles réponses l'architecture peut-elle offrir ? L'école nous entraîne dans l'acquisition de cette méthode pour se questionner. L'évaluation de l'étudiant est fondée sur ce système conceptuel et rationnel de question / réponse. Et c'est certainement pertinent, si limité à l'entraînement théorique; l'architecture sur papier, dépourvu de substance, reste à un niveau de pureté abstraite qui permet de résoudre théoriquement le problème posé par la ville.

Mais avec l'architecture réelle c'est un tout autre problème . Effectivement, même quand il est conçu comme une réponse pure, l'architecture réalisée, à partir du moment il impose "sa masse" et devient un objet construit, ne réussit jamais à arriver au-delà de l'équation “city=problem”. Puisque beaucoup d'architectes n'en ont pas empoigné le point de vu , un nombre incalculable de bâtiments ont germé dans le paysage urbain par l'application consciente de la leçon apprise : "solution / problème". Malheureusement, "la réponse" légitime et équitable attendue ne met souvent fin à être rien d'autre que “l' entonnoir urbain déplorable”. Car dans l'utilisation de cette approche, la situation concrète de la ville est résumé, théorisé et officialisé comme le problème et s'est transformée en un ensemble de systèmes logiques qui administreront une réponse architecturale logique. C'est inutile et disgracieux pour représenter ces rapports définis par un filtre d'étiquettes conceptuelles dans le monde matériel , dans la forme des bâtiments. L'architecture construite à partir de la conséquence est simplement un résidu superflu.

Nous sommes sans doute la première génération à nous rendre compte de la réalité des limites du modernisme. Nous évitons sincèrement et consciencieusement de nous occuper d'architecture conceptuelles autant que possible. Pour nous, la ville est du début imprégné de "substance" et le processus architectural est la création "de cette substance".

Donc, nous cherchons à manipuler des rapports concrets, comme ils sont. Le rapport entre la ville préexistante et l'architecture future n'est jamais envisagé d'une façon unilatérale, comme on ferait en apportant une réponse à une question, mais plutôt comme "un dialogue" continu et équilibré entre la vieille et la nouvelle "substance". C'est ce qui rend notre point de vue si innocent.
Agissant de façon conforme aux choses simplement, elle deviendront vraiment ce qu'on voulait qu'elle deviennent.

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